Auteur dramatique – Romancier – Parolier

Stanislas Cotton par Alice Piemme 2022

L’écriture du théâtre est d’utilité publique, car elle sonde, elle questionne, elle explore les heurs et les malheurs de nos sociétés.


Elle est le lieu du débat, de la confrontation, la scène où s’expose les enjeux qui gouvernent nos vies, où se révèle la complexité de nos natures d’êtres humains. Ce regard des hommes et des femmes sur les hommes et les femmes nous éclaire. Il nous aide à penser et à grandir. Il doit être, par la poésie, le privilège du plus grand nombre, car la poésie laisse à chacun de nous, la liberté de la comprendre et de l’interpréter, quelle que soit l’étendue de nos connaissances.  

L’écriture est pour moi un acte de jouissive indiscipline. À quoi bon l’ordre si l’on ne peut lui faire goûter un peu d’anarchie, pourquoi édicter des règles si l’on ne peut leur botter les fesses, à quoi bon nous choisir des chefs si l’on ne peut pas les faire vaciller, au moins virtuellement, sur leur piédestal. 


En fait, je ne sais rien, je ne sais rien du tout, mais la joie, la joie, je la cherche, elle est là, tout près, et nous le savons si peu.

Stanislas Cotton sur fond noir
Stanislas Cotton sur fond noir
Stanislas Cotton sur fond noir

« Jamais rien d’autre. D’essayé. De raté. N’importe. Essayer encore. Rater encore. Rater mieux. » Samuel Beckett

« Il faut admettre qu’on ne sait rien, cot, cot, cot, comme disent les poules. »
Witold Gombrowicz


LEOPOLDINE (inédit)

MAISONS D’éDITIONS

DERNIèRES PARUTIONS

Avec ce roman solaire, Stanislas Cotton nous fait suivre une passion naissante par le menu, de la tendre complicité à la douleur du doute et de l’absence. Il le fait avec brio, d’une plume alerte et poétique, créant une forme d’indéniable enchantement qui rivalise fièrement avec la brutalité de la vie.
Thierry Detienne

Couverture Ce que baleine veut

Avec le style qui lui est propre – poétique et proche du conte –, Stanislas Cotton s’attaque, comme souvent, à un sujet de société. Il met à jour nos travers, notamment ici les risques de la toile. « Internet, ce marécage où il faut craindre de s’enfoncer », nous prévient-il en exergue du texte.
Emilie Gäbele